Médiathèque de Saint Savournin

Comme une envie de... médiathèque

Où en est-on avec le poulet ? - 3

C'est aussi la fin de l'abondance pour notre poulet qui va peut-être devoir traverser la route pour se nourrir. Voyons aujourd'hui ce que les économistes en pensent !

Pour ceux qui croient encore que l'économie est une science exacte et qu'il n'y a qu'une voie possible... Et pour développer votre propre opinion, il y a un rayon très étoffé sur ce sujet à la médiathèque. Pour éventuellement en débattre, il y a le Café Phinanc&co animé par Henri Robet (information auprès des bibliothécaires).

Intégrer différents points de vue… c’est le début de la sagesse

Intégrer différents points de vue… c’est le début de la sagesse

Réponses d’un point de vue économique :

JOHN STUART MILL
Pour maximiser son plaisir.
ANDERSEN CONSULTING
La dérégulation du marché du côté de la route du poulet menaçait sa position dominante. Le poulet était confronté à des challenges significatifs pour développer et créer les compétences requises pour le nouveau marché global compétitif. Andersen Consulting, dans une relation de partnership avec le client, a aidé le poulet à repenser sa stratégie de redistribution physique et l’implantation des process. En utilisant le CIM (Chickenpoul Integration Model), Andersen a aidé le poulet à redéployer ses forces, savoirs, capitaux et technologies et à supporter sa nouvelle stratégie dans un cadre de program management. Andersen Consulting a réuni un panel d’analystes de routes et de poulets ainsi que de consultants Andersen spécialisés dans l’industrie des transports pour engager un meeting de deux jours afin de mettre en commun leur capital de connaissances personnelles, tacites aussi bien qu’explicites, et leur permettre de les faire agir en synergie afin d’atteindre les buts implicites de délivrer, architecturer avec succès et implémenter un cadre de valeur transentreprenarial dans le continuum des procédés cross-medium aviaires. Le meeting a été tenu dans un endroit semblable à un parc permettant et créant un environnement qui était basé sur la stratégie, fixé sur l’industrie, et bâti sur un message au marché consistant, clair, et unifié, et aligné sur la vision, la mission et les valeurs fondamentales du poulet. Ce fut décisif pour la création d’une solution de totale intégration de business. Andersen Consulting a aidé le poulet à changer et à devenir plus efficace. Merci de votre attention.
ALAIN MADELIN
Parce que c'est la loi du marché. Ce poulet fuit les rigidités structurelles et nous montre le visage de la France dynamique qui n'hésite pas à traverser la rue, hors des passages cloutés et fonctionnarisés.
MARC BLONDEL
Son entreprise lui imposait de prendre ce chemin, et il n’avait pas le choix s’il voulait garder son travail.
WIM DUISENBERG
Aujourd’hui, ce n’est plus un poulet qui traverse la route, mais 0.176986453 EuroPoulets.
AFFLELOU
... tchin tchin ... il est fou le poulet ... il est fou ! ! ... eh-eh ... deux traversées pour le prix d'une ... il est fou ... ... hein, quoi ? c'est pas des lunettes? ... un poulet ? ... c'est pareil ... il est fou ..
ORANGINA ROUGE
PASKEEEEEEUUUUUHHHH
FINDUS
Qu'importe, il finira congelé.
PHILIPPE MARTINEZ
La question est : a-t-il eu sa prime de traversée, ce poulet ?
LAURENT BERGER
Ce poulet n'est pas du parti de l'immobilisme. Il traverse. Il est CFDT.
AIR FRANCE
Parce qu'il voulait prendre l'avion, lui aussi ?
JEAN-PIERRE GAILLARD
Grâce à l'afflux massifs de poulets sur la route, les actions "Duc de Bourgogne" et "Bouygues" sont en forte hausse.
EMMANUEL CHAIN
Dans un contexte socio-économique en pleine croissance, le poulet a pleinement profité des avantages fiscaux qui lui ont été accordé lors de sa traversée de route. Exclusivement pour Capital, le poulet a accepté de laisser pénétrer nos caméras chez lui. Il nous explique comment il a choisi l'endroit de sa traversée et pourquoi le rond-point était d'un point de vue financier beaucoup plus rentable que le passage piéton.
CLUB DES ÉCONOMISTES
C'est pour nous faire réfléchir que ce poulet a entamé, cette traversé oh combien dangereuse pour lui. Imaginons un instant qu'il se soit fait écraser, qui aurait payé ? Son propriétaire ou bien la collectivité ? Malheureusement dans notre société d'assistés, cela aurait été la collectivité, alors qu'il s'agit bien au départ d'une initiative individuelle à risque. Faire payer le propriétaire aurait eu le mérite de le placer devant sa propre responsabilité. C'est bien pour cela qu'il faut supprimer la Sécurité Sociale, et c'est bien pour cela que sa suppression n'entraînerait pas une dégradation de l'état sanitaire de la France

Partager cet article
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article